Paris, dont les priorités ont changé, a réorganisé, ces derniers mois, sa présence militaire et fermé la plupart de ses bases historiques en Afrique de l'Ouest. Mais l'arrivée de sociétés militaires privées employant des Français vient troubler l'objectif de discrétion voulu par l'état-major des armées à Paris.
Les urgences et les objectifs ne sont plus les mêmes. La guerre d'Ukraine a bouleversé les équilibres et les priorités. Les armées doivent désormais se préparer à un possible conflit de haute intensité. La lutte contre le jihadisme au Sahel est passée au second plan. L'armée française, prise dans un maelström de désinformation organisé par Moscou et ses supplétifs du groupe Wagner, a radicalement changé, à la fois l'organisation de sa présence militaire, et sa communication en Afrique. Les bases historiques au Tchad, puis en Côte d'Ivoire notamment, ont été rétrocédées au début de l'année 2025. Les grandes opérations, à l'instar de Barkhane, appartiennent désormais au passé.
Les urgences et les objectifs ne sont plus les mêmes. La guerre d'Ukraine a bouleversé les équilibres et les priorités. Les armées doivent désormais se préparer à un possible conflit de haute intensité. La lutte contre le jihadisme au Sahel est passée au second plan. L'armée française, prise dans un maelström de désinformation organisé par Moscou et ses supplétifs du groupe Wagner, a radicalement changé, à la fois l'organisation de sa présence militaire, et sa communication en Afrique. Les bases historiques au Tchad, puis en Côte d'Ivoire notamment, ont été rétrocédées au début de l'année 2025. Les grandes opérations, à l'instar de Barkhane, appartiennent désormais au passé.
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