Du 22 au 24 mai, Bamako (Mali) a accueilli des journées d’échanges consacrées à la problématique des magasinages, surestaries et dépôts, à l’initiative du Conseil malien des Chargeurs. Une rencontre visant à identifier des solutions concrètes pour alléger les frais liés aux opérations portuaires et douanières sur le corridor stratégique Dakar–Bamako, tant au Nord qu’au Sud.
L’Administration des Douanes sénégalaises y a été représentée par une délégation conduite par le Directeur des Opérations douanières (DOD), Ousmane Kane, accompagné du chef du Bureau Transit, Transbordement et Réexportation (BTTR), le lieutenant-colonel Babacar Ndiour Diop.
Dans son intervention, Ousmane Kane a salué l’importance d’un tel cadre de dialogue, « propice à des échanges féconds entre les acteurs économiques et les administrations publiques ». Il a insisté sur « la nécessité de renforcer la qualité du service et la facilitation des procédures douanières dans un contexte où les liens économiques et historiques entre le Sénégal et le Mali demeurent profonds. » À ce titre, il a réitéré l’engagement de l’Administration sénégalaise à soutenir le transit entre les deux pays pour « le bénéfice exclusif de deux peuples frères ».
Le lieutenant-colonel Babacar Ndiour Diop a pour sa part présenté le système TOP-TIE (Tracking des Opérations du Transit interne des Expéditions), lancé en 2024. Ce dispositif innovant permet un meilleur suivi des marchandises en transit et contribue à la réduction des délais et des coûts logistiques. Selon lui, « le TOP-TIE offre aux opérateurs maliens un gain de temps précieux et une baisse significative des frais de transit, ce qui participe directement à la facilitation des échanges sur le corridor Dakar–Bamako ».
Les organisateurs maliens ont, en amont, dressé un état des lieux des contraintes rencontrées par les acteurs du transit, notamment les coûts élevés liés au stockage et aux retards dans la chaîne logistique. La rencontre de Bamako visait à formuler des pistes de solutions durables pour améliorer la fluidité du commerce régional.
Une initiative saluée par les participants, qui espèrent voir « se concrétiser des mesures concrètes en faveur d’un corridor plus efficace, compétitif et bénéfique à l’intégration sous-régionale. »
L’Administration des Douanes sénégalaises y a été représentée par une délégation conduite par le Directeur des Opérations douanières (DOD), Ousmane Kane, accompagné du chef du Bureau Transit, Transbordement et Réexportation (BTTR), le lieutenant-colonel Babacar Ndiour Diop.
Dans son intervention, Ousmane Kane a salué l’importance d’un tel cadre de dialogue, « propice à des échanges féconds entre les acteurs économiques et les administrations publiques ». Il a insisté sur « la nécessité de renforcer la qualité du service et la facilitation des procédures douanières dans un contexte où les liens économiques et historiques entre le Sénégal et le Mali demeurent profonds. » À ce titre, il a réitéré l’engagement de l’Administration sénégalaise à soutenir le transit entre les deux pays pour « le bénéfice exclusif de deux peuples frères ».
Le lieutenant-colonel Babacar Ndiour Diop a pour sa part présenté le système TOP-TIE (Tracking des Opérations du Transit interne des Expéditions), lancé en 2024. Ce dispositif innovant permet un meilleur suivi des marchandises en transit et contribue à la réduction des délais et des coûts logistiques. Selon lui, « le TOP-TIE offre aux opérateurs maliens un gain de temps précieux et une baisse significative des frais de transit, ce qui participe directement à la facilitation des échanges sur le corridor Dakar–Bamako ».
Les organisateurs maliens ont, en amont, dressé un état des lieux des contraintes rencontrées par les acteurs du transit, notamment les coûts élevés liés au stockage et aux retards dans la chaîne logistique. La rencontre de Bamako visait à formuler des pistes de solutions durables pour améliorer la fluidité du commerce régional.
Une initiative saluée par les participants, qui espèrent voir « se concrétiser des mesures concrètes en faveur d’un corridor plus efficace, compétitif et bénéfique à l’intégration sous-régionale. »
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